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 |   Amitiés Franco-Chinoises Nancy
          LorraineAssociation adhérentes à la Fédération
            des Associations Franco-Chinoises
 14, rue du cheval blanc 54000 NANCY- tél. 03 83
        41 15 40  
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        | EVENEMENTS
          2010 |  
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 Accueillez
                  des étudiants chinois… Cette année encore, l’IUT du Montet accueille de jeunes étudiants
      chinois pour leur faire découvrir la
 culture et l’organisation de la société française,
      avant qu’ils ne s’engagent dans leurs études
 universitaires.
 Dans ce cadre, l’IUT nous propose donc de renouveler l’accueil
      en familles françaises :
 En voici le principe :
 vous accueillez deux étudiants le temps d'un repas, d'une sortie, … afin
      de les sortir de leur
 quotidien, de leur permettre de rencontrer de « vraies » familles
      françaises,
 de découvrir les diverses facettes de notre région…,
 en échange vous rencontrerez de « vrais » étudiants
      chinois, qui vous apporteront une vision
 personnelle de leur pays, de leurs habitudes, de leur cuisine…
 Et ce, deux, trois fois dans l'année (voire plus si affinités).
      L'idée est que chacun fait selon son emploi
 du temps et ses envies. Il ne doit y avoir aucune contrainte pour les familles
      d'accueil et les étudiants.
 Si vous êtes intéressés, merci de nous le faire savoir
      par retour de mail, en précisant
 éventuellement le « petit plus » que vous proposez, ou un
souhait particulier par rapport
 aux étudiants que vous souhaitez accueillir.
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        |   Exposition  
 « Matteo
                Ricci »
 
 Organisée dans le cadre du 400ème anniversaire de la mort
      de Matteo Ricci
 (1552 – 1610), cette exposition met en avant cet éminent missionnaire
 catholique de la Renaissance, pionnier des échanges scientifiques
      entre la Chine et l’Occident.
 21 visuels stylisés, dans des tonalités chaudes et au design évocateur
      de la
 plus authentique tradition esthétique chinoise parsèment
      le parcours.
 Un film de 52 minutes (de Yu Sanle) rend également hommage à celui
      que l’on
 nommait aussi « Li Madou » – le sage venu de l’Occident.
 Prêtre et missionnaire jésuite italien né en 1552,
      Matteo Ricci a laissé une
 empreinte considérable dans l’histoire du peuple asiatique,
      diffusant sur
 place les fondements du savoir occidental en matière d’astronomie,
      de
 mathématiques, de philosophie, de littérature, de musique,
      de cartographie et même d’horlogerie.
 Ses observations, transmises à l’Europe des Lumières
      par le biais de son
 journal et de sa correspondance, ont bâti une véritable passerelle
      culturelle entre les deux civilisations.
 
 Au Palais de la Découverte à Paris,
                    jusqu’au 6 février 2011.
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        | Exposition
 
 « Baba
                  bling »
 A Singapour, le terme « Baba » désigne un « homme
      chinois » et, par
 extension, les descendants des communautés chinoises qui se sont
      intégrées
 dès le 14e siècle dans le sud-est asiatique et qui ont incorporé au
      fil des
 siècles de nombreux aspects de la culture malaise dans leur culture
      d’origine.
 Le « Baba » désigne aussi le chef de famille qui a intégré des éléments
      de la
 culture européenne, via ses parents et ses grands parents pendant
      la période coloniale.
 
 L’intégration interculturelle qui s’amorce avec ce processus
      est une leçon
 d’ouverture d’esprit et de tolérance, deux sujets plus
      que jamais d’actualité.
 L’exposition présente un ensemble d’environ 480 pièces
      de la culture
 luxueuse et raffinée de ces communautés chinoises implantées à Singapour.
 Les objets présentés - mobilier, textiles ornés de
      perles et de broderies,
 porcelaine… - empruntent leurs formes, motifs et couleurs aux cultures
 chinoises et malaises. Ils datent pour la plupart de la fin du 19e siècle
      ou du
 début du 20e siècle. Cette période correspond à un
      important essor
 é conomique ayant permis à de nombreuses familles chinoises de
Singapour
 de s’enrichir. Elle marque ainsi l'apogée de cette communauté qui
      s'est
 matérialisée en partie par un art de vivre dont la maison était
      le coeur et le
 signe extérieur le plus important.
 
 Au musée du quai Branly à Paris, jusqu’au 30
      janvier 2011.
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        | Photographie
 
 Loin
                du grand bond en avant d’une Chine conquérante,
                lephotographe hollandais Robert van der Hilst se focalise sur des
 anonymes qui peuplent les villes et les campagnes.
 Une vérité nue, simple, parfois misérable, déchire
      le jeu des
 apparences. Sans voyeurisme, il fait poser ses modèles toujours
 dignes, qu’ils soient paysans, artistes ou retraités, han
      ou
 ouïgours, dans le décor intime de leur lieu de vie.
 Des images datées accrochées à un mur défraîchi,
      des fragments
 de souvenirs, une thermos, une télé allumée participent à la
 composition de ces
 tableaux photographiques. L’artiste, inspiré du peintre flamand
 Vermeer, cadre comme un détail essentiel de l’existence
 l’expression d’un visage, la posture d’un corps, la force
      d’un regard…
 
 Intérieurs chinois, Photographies de Robert
                  van der Hilst, Gallimard, 42 €.
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        |   City
                  of Life and Death 
 Actuellement
                au Cameo – Commanderie à Nancy
 Pour en savoir plus :
 Newsletter
                    N°41 : septembre
                    2010 (pdf)   |  
        |   Reprises
                    des cours  
 Les cours de langue, de calligraphie et de cuisine chinoises dispensés
 par l’association reprendront la première semaine d’octobre.
 Réunion d’information et d’inscription le jeudi
      16 septembre 2010 à 18 h
 à la MJC Lillebonne, 14 rue du cheval blanc à Nancy.
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        |   ExpositionLa Voie du Tao,
 un autre chemin de l’être
 
 L’exposition
                familiarise le public occidental avec un mode de pensée
                et une conception de l’homme dansl’univers qui lui sont fondamentalement étrangers. Bien sûr,
      beaucoup ont déjà entendu parler du Taoïsme, du
 yin et du yang, avec son élégant symbole graphique ou encore
      du qigong, cette gymnastique du souffle que
 l’on pratique en plein air… Mais tout ceci, en dépit
      de son charme, reste très mal connu. Les différents thèmes
 abordés et illustrés dans cette exposition, permettent de
      comprendre les démarches philosophiques,
 poétiques, religieuses et scientifiques qui font du Taoïsme « une
      autre façon de vivre », dont le souci
 ultime s’apparente à la recherche d’un accord harmonieux
      et pérenne entre l’homme et l’univers.
 Avec près de 250 oeuvres très diverses, de la peinture à la
      sculpture, de la céramique à l’art du bronze ou du
 textile, l’exposition permet de « voir » comment le Taoïsme
      s’est exprimé au fil des siècles à travers
 quelques grands thèmes fondateurs.
 
 Galeries nationales, Grand Palais, Paris
 du 31 mars 2010 – 5 juillet 2010
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        | Exposition
 Chine, célébration de la terre
 
 
   
 Alors que s’ouvre à Shanghai
                      l’Exposition Universelle consacrée à la « Ville
                      harmonieuse » - symbolisant
 notamment l’harmonie entre l’homme et la nature, le passé et
      le futur -, la Fondation EDF Diversiterre, en
 collaboration avec le musée Guimet, propose en écho à l’Espace
      Fondation EDF « Chine, célébration de la terre ».
 Cette
                exposition donne des clefs pour mieux comprendre la culture chinoise
                et ses attaches profondes à laterre ; terre source de vie, d’inspiration, d’innovation, terre
      sacrée, terre matrice de la civilisation. La Chine a souvent
 é té désignée comme la « Civilisation du végétal » par
le lien privilégié que ses habitants entretiennent avec la nature.
 La Fondation EDF a confié à Jean-Paul Desroches, conservateur
      général au Musée des Arts asiatiques Guimet,
 le soin de choisir dans la collection François Dautresme, une sélection
      d’oeuvres et d’inventions techniques qui nous
 restituent tout un monde rural. Ces ouvrages sont présentés
      aux côtés d’objets archéologiques provenant des
 collections du musée Guimet, du musée d’Art et d’histoire
      de la Ville de Saint-Denis et du musée Pincé d’Angers.
 Cet ensemble très cohérent témoigne d’une ingéniosité et
      d’une inventivité uniques.
 
 Fondation EDF, 6, rue Récamier, Paris
 jusqu’au 19 septembre
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        |   ExpositionLA SOIE et LE CANON
 France – Chine : 1700 / 1860
 
 En
                octobre 1700, L’Amphitrite, premier navire français à commercer
                avec la Chine, revient en France et c’est àNantes, grand port de commerce colonial, qu’il vend sa cargaison
      : thé, soie, porcelaine, nacre, ivoire, panneaux
 laqués… Cette première arrivée massive d’objets
      et produits nourrit une véritable fascination pour la culture chinoise.
 C’est ainsi que se développe en France « un goût
      pour la Chine » dont on a oublié l’ampleur. Il est alimenté par
      les
 Jésuites présents à la cour de Chine. L’Europe
      devient sinophile. Artistes et artisans produisent dans le goût
 chinois. Jusqu’à la fin du 18e siècle, ce commerce
      au volume marginal mais dont l’influence se révèle
      marquante, est
 dominé par les Chinois qui dictent leurs conditions aux Occidentaux.
      Ces derniers n’arrivent cependant pas à
 introduire en retour leurs produits commerciaux.
 La Chine attire de plus en plus les convoitises et peu à peu, « le
      mythe » s’écorne. Les guerres de l’Opium au 19e
      siècle,
 avec en point d’orgue le sac du Palais d’été à Pékin
      en 1860, achèvent la bascule du rapport économique au profit
      des
 Européens et participent au déclin de l’Empire du Milieu.
 L’exposition La Soie & le Canon met en lumière les relations
      franco-chinoises entre ces deux dates - 1700/1860 -
 et montre l’évolution du regard porté sur cet Extrême-Orient
      lointain qui suscita tour à tour fascination et rejet, en
 s’appuyant sur la présentation d’objets et documents
      prestigieux prêtés par de grands musées dont le musée
 national des arts asiatiques Guimet, partenaire associé au projet.
 
 Musée d’histoire de Nantes
 26 juin / 7 novembre 2010
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        |   ExpositionPékin 1966
 Petites histoires de la Révolution culturelle
 
 Solange
                Brand a 20 ans en 1966. A la suite d'un recrutement dans son
                lycée, elle part travailler àl'ambassade de France à Pékin. Pendant la Révolution
      culturelle, elle circule dans la ville et prend des
 photographies en couleur. N'ayant aucun 'message' à délivrer,
      elle photographie ce qu'elle voit de manière
 franche et candide, malgré les milliers de regards qui se portent
      sur elle - une jeune fille occidentale dans la
 foule est à l'époque véritablement hors du commun.
 Restées dans un tiroir pendant près de 40 ans, ces images
      constituent une trace précieuse : en dehors de
 la propagande officielle, rares sont les documents évoquant la Révolution
      culturelle en couleur.
 
 Promenades photographiques, Vendôme (41)
 Du 18 juin au 19 septembre 2010
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        |   Assemblée
                générale de l'Associationvendredi 28 mai 2010 à 18h30, à la MJC St Epvre à Nancy
 Au-delà de
              la traditionnelle partie consacrée aux activités
              de l'année écoulée, cette rencontre est l'occasion de se retrouver dans une ambiance amicale
 et d'échanger sur les initiatives que vous aimeriez voir développer
 au cours de l'année à venir. Nous comptons donc sur votre présence.
 Après
              un intermède musical proposé par un étudiant
              chinois, Denise et Jean-Pierre évoqueront leur dernier voyage en Chine...
 et vous inviteront à les accompagner pour un futur périple en
  2011 ou 2012.
 L'assemblée générale se clôturera par un buffet
  franco-chinois
  Conférence de Denise et Jean-Pierre
 
  Linxi au piano
  Wei à la clarinette
 Photos
            : Françoise Henry   |  
        |   NOUVEL AN CHINOIS : ANNEE DU TIGRE  
 BONNE ANNEE 2010
 C’est le lundi 14 février 2010 que le tigre viendraremplacer le boeuf dans le calendrier chinois.
 La
              fête du nouvel an chinois, appelée également
              fête du Printemps pour éviter lesconfusions avec le nouvel an du calendrier grégorien, est la principale
              fête dans le monde chinois.
 
 
 
 
 
   |    RETROSPECTIVE
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